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Détails sur le produit
Broché: 344 pages
Editeur : Books on Demand (6 mai 2015)
Langue : Français
ISBN-10: 2322080802
ISBN-13: 978-2322080809
Dimensions du produit:
18,9 x 1,8 x 24,6 cm
Moyenne des commentaires client :
3.9 étoiles sur 5
6 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
458.003 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Le meilleur livre sur les linges de la passion. Détaillé, il offre un parallèle entre les traces sur les linges et l'évangile. Le seul regret est que de toute évidence, l'auteur est croyant, et donc, a une certitude. Pour moi, la première question à poser avant même de se demander si ces linges sont authentiques est: Jésus a-t-il vraiment existé ? Les seuls écrits à son sujet sont les évangiles. Aucun écrit de l'époque n'en fait mention.L'image sur les linges reste un mystère. Un très bon DVD existe "sur les traces de Jésus", est un documentaire qui recherche les traces de sa vie et de sa mort. Un reconstruction faciale y est présentée, sur base d'un crane d'un juif de l'époque. Le problème est que le type racial de l'époque ne donne pas du tout une ressemblance avec l'image des linges. Pa exemple, les juifs de l'époque n'avaient jamais les cheveux longs, et même les évangiles le mentionne. Que penser alors de cette image. Le mystère reste entier.
Voila un ouvrage passionnant sur l'étude des linges de la passion. A la fois historique et scientifique, nous avons là de quoi nous faire notre propre opinion à la lueur de ce que nous savons actuellement sur le sujet. Il y a une très grande concordance des faits historiques et scientifiques. Le seul point qui pose problème concerne la datation au carbone 14. Sur ce dernier point toute la lumière est faite sur la technique et les procédures misent en place pour effectuer les prélèvements et l'analyse..........On peut se poser de nombreuses questions sur la maîtrise de cette techniqueA suivre....
L'exposé scientifique dans ce livre est très utile. L'auteur explique sereinement les preuves de l'authenticité du Linceul de Turin. je me demande encore pas quel jeu hasardeux nous avons pu en douter.Je recommande en tant qu'historien cet ouvrage
Pierre Milliez offre un panorama complet des linges qui ont servi lors de la passion et de l’ensevelissement du Christ. Passionnant.
Résumons en quelques lignes mes raisons de m’intéresser avec angoisse au Linceul de Turin : son “authenticité†ne me dérangerait pas un cheveu en soi : que m’importe qu’un prophète juif de plus ou de moins ait été crucifié aux alentours de l’an un de son ère? La question que je me pose est de savoir si, en l’état de la science, l’explication la plus satisfaisante de la roussissure présente sur le Linceul (et représentant, avec le reste d'un corps supplicié, un visage qui ne me laisse pas indifférent) est bien celle d’un très intense et très court bombardement de photons, résultant d’une métamorphose du cadavre en lumière. D’autres éléments semblent plaider en ce sens, comme le fait, allégué par certains, que des fibrilles de lin et des fibrines de sang n’aient pas été arrachées comme elles l’auraient dû si l’on avait HUMAINEMENT (désolé, Amazon ne restitue pas les italiques) séparé le linceul du corps. Cette preuve de la résurrection (donc, indirectement, de l’authenticité) a lieu de m’inquiéter tout particulièrement, attendu que j’ai choisi une vie et une morale qui ne sont pas en conformité avec les dogmes chrétiens, ni avec ce que les synoptiques nous transmettent des propos de Jésus : “humble et doux de cÅ“urâ€, moi je veux bien, mais relisez Matthieu, et vous verrez qu’il regorge de menaces de “feu éternel†pour des peccadilles comme celle d’appeler son frère “racaâ€, qui égayait si fort Voltaire, et dont je ne me suis pas privé. Il est saugrenu de choisir Amazon pour se confesser, je n’ai d’ailleurs commis ni crime ni délit, mais j’ai vécu dans l’égoïsme et le narcissisme, n’ai connu que le côté cognitif de l’empathie, etc, etc, et, si je suis capable à la rigueur de changer d’actes in extremis, je ne changerai pas d’âme. Or elle semble inapte à prendre le bien des autres en considération, et, pour résumer d’une formule mon anxiété, si le Linceul prouve la résurrection, je ne me vois pas frais dans l’au-delà . Raison pour quoi, il y a quelques années, désireux de creuser la question, j’ai commandé quelques livres, un peu à l’aveuglette. Pourquoi avais-je opté pour le bouquin de Milliez, dont je m’avise un peu tard qu’il est autoédité? Parce que c’était le plus récent des épais, ou le plus épais des récents? Un féroce zététicien, ce me semble, malmènerait moins durement la cause de l’authenticité que cet auteur qui écrit à genoux, regarde avec les yeux de la foi, recopie ou invente, en tout cas affirme à jet continu, avec un culot qu’aucune connaissance ne paraît justifier, presque uniquement soucieux de “faire coller†tous ses linges (car il en “étudie†cinq, par cette “méthode†théologico-scientifique…) avec les textes du Nouveau Testament. Je ne connais rien à la médecine, à la biologie, etc, mais comment prendre au sérieux, surtout quand on a les photos sous les yeux, une élucubration de ce genre : « Si l’on observe le Linceul aux ultraviolets, en plus des tuméfactions du fouet sur le dos, une abrasion des blessures est visible. Ceci se rattache au portement d’un objet lourd, une croix selon les Écritures, qui laisse une large plaque rosée couvrant l’omoplate et le trapèze droits. Ce portement d’une croix est postérieur au supplice du fouet. […] Une autre plaque rosée, un peu plus petite, couvre l’omoplate gauche, particulièrement visible à sa partie inférieure. Les ecchymoses correspondent aux marques laissées par un objet lourd et rugueux. Les plaies excoriées sur l’épaule droite évoquent le port d’un objet lourd, rugueux et large de plusieurs centimètres qui a frotté assez longtemps pour arracher la peau. Cet objet a été porté sur l’épaule droite, en travers du dos, presque horizontalement, le dos penché en avant, l’objet venant reposer parfois brutalement sur le dos, au niveau de la pointe de l’omoplate gauche. [Je mettrais cette phrase en italiques : qu’on se représente un peu ce “portement de croixâ€, de travers, alors que c’était bien le moindre des soulagements de la laisser traîner à terre! Sur les photos, du reste, les deux épaules sont aussi “roséesâ€, c’est-à -dire, rappelons-le, jaunâtres, l’une que l’autre.] Que nous disent les évangélistes sur le portement de la croix? Matthieu (Mt 27, 32), Marc (Mc 15, 21) et Luc (Lc 23, 26) indiquent la réquisition de Simon de Cyrène pour porter la croix. Jean par contre indique que Jésus porta sa croix (Jn 19, 17) : ILS EMMENÈRENT DONC JÉSUS. PORTANT SA CROIX, IL SORTIT VERS LE LIEU DIT DU “CRÂNEâ€, CE QUI SE DIT EN HÉBREU GOLGOTHA. [En gras dans le texte] À NOTER QUE JEAN EST LE SEUL TÉMOIN DIRECT CAR IL A ACCOMPAGNÉ JÉSUS JUSQU’AU CRUCIFIEMENT. » Là , c’est moi qui majuscule, de nouveau. TOUT est de cette encre, avec çà et là des sommets. Ainsi, du voile de Manoppello, (ἀχειÏοποίητον tant qu’on voudra, mais à quoi bonne une intervention divine, si c’est pour imiter si fidèlement un tableau?), parmi, apparemment, les preuves d’authenticité : « L’observation de ce visage donne un ressenti unique. C’est l’ombre lumineuse d’un visage glorieux et transparent ». Pour moi, j’ai eu beau fixer l’image un quart d’heure, je n’ai réussi à y voir que le visage banal d’un homme soit niais de naissance soit hébété par les mauvais traitements, Å“uvre d’un artiste très moyennement doué – mais jamais je n’érigerais mon RESSENTI en PREUVE! Un peu plus haut, il nous est rappelé que la Trace est déposée sur un tissu si fin qu’elle est visible des deux côtés – sauf qu’une forte source de lumière la fait disparaître! Bon Dieu, mais c’est bien sûr! Jn, 1, 9, Jn 8, 12 (« Je suis la lumière du monde »), Jn 12, 46a, et enfin Mt 17, 1-2 : « Et il se transfigura devant eux : son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière. » Si ce genre d’argument vous afflige ou fait sourire… comme disait Claudel devant une crêpe en cours de flambage : « et voilà comment Gide rôtira en enfer! » Le plus comique cependant (ou le plus triste), c’est l’examen des prétendues “inscriptionsâ€, disposées de manière bizarroïde (à condition qu’on consente à les voir, et il faut qu’on vous guide énergiquement la vue), tantôt sur le visage du supplicié tantôt autour : ici les “savants†sturpiens [1] et autres sindonologues ont déjà tellement fait assaut d’extravagances que notre homme croit pouvoir tranquillement en ajouter un peu de son estoc. Allons directement à son “résumé†de ce sujet : « Texte du U intérieur : “PEZ(ω) DAMNATUS INNECE(M)†Texte du U extérieur : “(O)Ψε ΚΙΑ (Ι)ΗΣΟΥ(Σ) ÎÎΑΖΑΡΕÎÎΟΣ†Date sur le front et à droite du U extérieur : “(T)IBEP(IOΣ) IÏ‚ ΑΔΑ(Ρ) (sheni)†La signification serait : “J’EXÉCUTE LA CONDAMNATION À MORT À LA NEUVIÈME HEURE DU JOUR QU’IL SOIT ENLEVÉ JÉSUS DE NAZARETH DANS LA SEIZIÈME ANNÉE DU RÈGNE DE TIBÈRE AU MOIS D’ASAR (SHENI)†C’est à un “scribe peu lettré†qu’est attribué ce bizarre mélange de latin et de grec, si l’on ose l’appeler ainsi. Précisons que le tandem Marion-Courage, déjà hardis comme “savantsâ€, n’avaient relevé, comme “U intérieur†(plus qu’à moitié caviardé), qu’un “PEZ(ω) [………………] NN [……] INNΣ (ou ε)CEâ€, mais pourquoi l’ignorance serait-elle une gêne, quand la foi est là ? “Condamnation†est si proche de NN qu’il est difficile de résister. Seulement, même pour dire “j’exécute le condamné†(N.B. que á¿¥Îζειν, faire, accomplir, ne pourrait plus se traduire ainsi), il faudrait au moins un accusatif : damnatum. Ce n’est pas moi qui vais reprocher à qui que ce soit d’ignorer en quoi consiste une langue à flexion, comme l’allemand ou le russe, seulement je trouve gênant, quand on montre constamment un tel aplomb dans l’assertion, d’apporter la preuve qu’il ne repose sur rien, en affirmant ne serait-ce qu’une fois sans avoir la moindre notion du savoir ad hoc. Est-ce au reste l’ignorance qu’il faut invoquer, quand on touche au vocabulaire, que tout le monde pourrait vérifier? « Dans la bible le nouveau testament est écrit en grec ancien. Or en grec ancien il n’y a pas de mot spécifique pour poignet. C’est le même mot en grec ancien qui est utilisé pour dire main et poignet. » Admettons, quand on cause flou, que « Vois mes mains » puisse comprendre les poignets; mais καÏπός, moins utilisé que χείÏ, bien entendu, signifie “poignet†depuis Homère, et cette imperturbable affirmation semble un peu trop délibérée pour ne pas ressembler à un mensonge. Le pas était d’ailleurs franchi quelques pages plus haut : « Il n’y a pas la moindre particule de colorant extérieur (peinture, colle, pigment ou autre). Les traces jaunes ne correspondent pas à un pigment coloré, mais à une oxydation de la fibre du lin. » C’est peut-être le cas actuellement, après un certain nombre de prélèvements et de manipulations. Mais n’est-ce pas tromper délibérément le lecteur que passer sous silence les analyses de McCrone, spécialiste en faux mondialement reconnu, qui, alors membre du STURP, avait reçu pour sa part 32 bandes adhésives spéciales, apposées en 1978 sur différentes zones (zone sans image, zone image [monochrome] et taches de “sangâ€), et avait détecté au microscope : 1) des particules d’ocre rouge (oxyde de fer) sur toute la zone image; 2) des particules de vermillon à l’emplacement des taches de sang; 3) du collagène : gélatine animale utilisée comme liant pour fixer les couleurs, et qui expliquait selon lui la présence de bilirubine, porphyrine et albumine; enfin, 4) aucune trace de composé sanguin sur les traces de “sang†: je recopie tout cela, ou à peu près, dans l’article d’un certain Bara, qui répond “victorieusement†à toutes ces assertions, mais omet de préciser que pour fruit de ses sueurs McCrone fut proprement vidé du STURP, avec récupération des échantillons à lui confiés, ce qui dissuade d’utiliser l’acronyme d’un tel organisme comme quasi-synonyme de “la scienceâ€, comme le font Cauwelaert & alii. Milliez, lui, fait très bien allusion à McCrone comme “opposant à l’authenticité du Linceul†quand il s’agit de confirmer la présence, sur celui-ci, de pollens prétendument moyen-orientaux, mais l’oublie complètement quand il s’agit de pigments, c’est-à -dire de l’hypothèse d’une peinture. Milliez est un homme de foi. Mais, comme on voit, il n’y a pas contradiction entre la foi et la mauvaise foi… En choisissant au poids et à la nouveauté, on dirait que je suis tombé sur un ouvrage d’apologétique spécialement lourdingue… et léger. « La recherche n’a pas pour but de convaincre, encore moins de convertir », écrit son préfacier. Mieux vaut, surtout quand elle mérite si peu ce nom. Mais un saugrenu “Écoute, Israëlâ€, p. 289, qui semble bien de la main du bizarre compilateur, semble contredire le propos de l’ami honteux : « Écoute Israël ce tremblement de terre, la crainte du centurion, des Romains qui gardent. Écoute Israël ce qu’ils te disent : “Vraiment, celui-ci était fils de Dieu.†Regarde Israël, cette croix, cette croix est la croix du crucifié Regarde Israël, cette croix, cette croix domine le monde pour la nuit des temps. » Je ne cite que les versets 4 et 5, à peu près les plus courts. Le bonhomme semble s’être lancé là dans une besogne quelque peu au-dessus de ses forces. J’imagine la rigolade rabbinique… Mais essayons de revenir à ce qui, pour moi comme pour, je suppose, bien d’autres (je ne suis tout de même pas le seul à chercher la vérité là -dessus!) est l’essentiel : comment cette image est-elle apparue? À ce sujet, je n’ai rien vu de neuf dans ce bouquin : selon l’auteur, hélas peu crédible, comme on vient de voir, l’image, à la fois tri-dimensionnelle et imprimée à plat, ne peut avoir été causée que par un très bref et très intense bombardement de photons; il semble admis que « L’image résulte d’une oxydation superficielle de la cellulose qui n’affecte que le sommet des fibrilles du tissu », p. 122. La phrase qui suit introduit pourtant une énigme : « Cette oxydation est due à un phénomène thermique, puisque les pièces posées sur les yeux de l’homme du Linceul ont, elles aussi, provoqué la même oxydation. L’image est une roussissure, une légère brûlure. » Pour ma part, je ne vois pas plus les pièces que les inscriptions; mais si l’on admet qu’elles soient bien là , une par Å“il, il faut convenir qu’il est fort étrange qu’elles n’opposent pas le moindre obstacle au “flash†de la Résurrection. L’assertion la plus troublante à mes yeux se trouve pourtant en p. 118 : « La coloration jaune est essentiellement monochrome. L’intensité de la teinte jaune ne dépend pas d’une variation de l’intensité de la teinte de chaque fibrille. Elle est fonction du plus ou moins grand nombre de fibrilles colorées. » Italiques pour cette phrase. Je pense que notre homme n’oserait pas inventer cela : il l’a trouvé dans un des innombrables bouquins ou sites que je n’ai pas abordés. Et inutile par ailleurs de rappeler mon ignaritude, patente à chaque ligne. M’enfin je ne vois pas pourquoi un éclair de lumière, un laser, comme le veut Cauwelaert, ne toucherait pas également (mais avec une intensité inégale, fonction de leur éloignement) toutes les fibrilles. Le fait que seulement certaines soient oxydées semblerait plutôt plaider pour l’application, sinon d’un colorant, du moins de quelque conservateur qui aurait eu pour effet secondaire d’oxyder un nombre de fibres proportionnel au contact, en quelque sorte. La nuance peut paraître spécieuse; mais n'est-il pas normal et naturel qu'un liquide badigeonné sur un corps se répartisse moins uniformément sur le linge qu'on y applique que l'empreinte thermoluminescente de ce même corps transmué en lumière? Hélas, il serait un peu hâtif aussi de me contenter de bévues glanées dans le livre d’un sot pour renforcer une citadelle – d’incroyance, passerait encore, mais d’incroyance orgueilleuse, et, sinon égoïste, du moins repliée sur soi... C'est-à -dire, et j'en tremble,, la plus propre à me valoir un châtiment éternel si je m'obstine à repousser les preuves qui me sont fournies…  Cette histoire me rend malade : apparemment, je n’en sortirai de sitôt. L’évidence indiscutable, c’est à quel point la Résurrection me géhennerait (“Déjà !â€, pour reprendre le délicieusement cruel apocryphe de Louis-Philippe à Talleyrand mourant [2]). Ce que je cherche avec passion, c’est une bonne raison d’en finir avec cette perturbation, d’autant que jamais je ne pourrai oublier qu’une religion dont j’ai jadis suivi la formation à la trace dans les lumineux bouquins de Maurice Goguel, une religion dont l’Histoire a si manifestement laissé la carcasse sur le bord de la route, et qui ne m’a jamais inspiré que le plus atroce ennui, que cette religion soit la bonne, et que je puisse me condamner sciemment à la fournaise ou au noir éternel si je néglige le “signe de Jonas†qui m’a été fait. Le néant, le néant, Seigneur, par pitié![1] STURP : Shroud of TUrin Research Project : désigne un groupe de “savants†de disciplines diverses, presque tous américains, qui se sont voués à l’étude du Linceul dans les années 70, et ont rendu en 1981 des conclusions “définitivesâ€, mais étoffées depuis sans cesse ni relâche par quiconque veut bien se baptiser “sindonologueâ€â€“ les sceptiques étant éliminés d’avance.[2] « Je souffre comme un damné! – Déjà ? » Mais le mot est bien antérieur : je ne parviens pas, en dépit d'heures de feuilletage, à retrouver le bouquin dans lequel il m'a accroché l'Å“il, mais Gogol me dirige en vingt secondes vers un recueil de 1804, où cette réplique serait attribuée au médecin Bouvard (mort en 1787) 34 ans avant le décès de Talleyrand. Je ne serais guère étonné que des chapelets de petits malins l'eussent inventé auparavant.
Une nouvelle approche de la question du suaire présentant le visage du Christ ...aprèsvcelui de Turin , mondialement connu et controversé. Est-ce que cela fait avancer la question fondamentale ?
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